Collection Le Marin. Maître DHôtel De LAmiral À Tahiti (4/4)
Pardon.
Cest ce qui me vient à lesprit lorsque jentends Lauriane, la fille de lamiral me proposer de monter boire un dernier verre chez elle au dernier étage dun immeuble dans le centre de Papeete.
Deux fois déjà dans ma jeune vie, des femmes mont proposé daller boire un dernier verre et chaque fois ma queue sest retrouvée à la fête.
La première fois, javais à peine 17 ans, cétait Adèle, la mère dun copain.
Le coup classique, la fête des voisins à Joinville, une femme seule, abandonnée par son mari de longue date.
Elle avait un abandonnant avec un polichinelle dans le tiroir, qui plus tard est devenu mon pote.
Ce soir-là, ayant un peu trop bu, vous la raccompagnez après quelle ait prononcé cette phrase qui vient de sortir de la bouche de Lauriane.
Jy ai perdu mon pucelage, cétait peu de temps avant que je mengage.
La deuxième, jétais aux apprentis-mécaniciens de Saint Mandrier, une américaine de passage à Toulon était sur le port dans un café près de la mairie.
Elle était à la table voisine et ma souri.
Cest en Français plutôt Franglais quelle a trouvé le moyen de me proposer une promenade dans sa voiture garée sur la rue parallèle au port.
Un chauffeur est venu nous ouvrir la portière sa casquette sous le bras.
Nous sommes montés au mont Faron, elle avait su que de là-haut, il était possible de voir toute la rade.
Je lai un peu embrassé sans quelle soit farouche et cest au retour devant lun des hôtels les plus chics de Toulon quelle a très mal prononcé cette phrase.
Je lai baisé autant quun homme puisse baiser une femme, cétait une gourmande.
Cest quelques semaines plus tard que jai vu un article dans un journal qui trainait à lécole sur une table que jétais monté boire un dernier verre avec Greta Pearse la jeune starlette montante.
Elle était venue à Cannes pour le festival et à Toulon pour se faire un petit marin.
Depuis, je regarde ses films, elle a fait du chemin et lon parle dune possibilité dOscar pour son rôle dans « Looser ».
Une certitude, dans son lit, Greta avait été loin davoir un looser, Christian il avait assuré, lhonneur des hommes qui plus est marins français étant en jeu.
Là, cest une nouvelle fois lhonneur de la marine que je vais défendre.
- Entre, va dans la cuisine et débouche-nous deux bières, je vais me rafraichir.
Elle ôte son casque de brousse quelle jette sur un canapé.
Ses cheveux blonds sont en chignon quelle détache les faisant tomber en cascade sur ses épaules les replaçant dun geste du corps les faisant voler.
Même si elle est sur son côté pile, je la vois commencer à détacher sa chemise de brousse.
Je vais dans le frigo, cest la première fois que je vois une salle de séjour ou la cuisine est incorporée dans un coin derrière un bar.
Sur le devant du plan de travail, il y a trois chaises hautes comme jen ai croisé dans certains bars louches de Toulon.
Le frigo est à larrière, jentends de leau coulée.
Ce bruit venant du couloir où Lauriane vient de séclipser.
Un instant lidée de la rejoindre me traverse lesprit, mais je me souviens que cest la fille dun amiral et il est possible quelle ait eu simplement envie de boire une bière entre deux copains.
Un petit problème, rien pour décapsuler.
Je suis un peu loin de la maison de Tahia, elle pourrait les ouvrir avec ses dents, mais jai plus dun tour dans ma besace, je récupère une pièce et dun coup rapide les deux capsules sautent.
Je vais vers le canapé blanc sur un mur blanc, la cuisine étant blanche et je pose les bières sur la table basse en bois blanc elle aussi.
Il y a deux fauteuils blancs comme le canapé je pose mes fesses sur laccoudoir de celui de gauche.
Lauriane sort du couloir, son corps est entouré dune large serviette tenue au-dessus de ses seins et avec une autre enfermant ses cheveux.
Elle vient sassoir dans le fauteuil où je suis moi-même assis.
Je lui tends sa bière, nous trinquons en tapant nos deux goulots.
De la mousse séchappe venant tomber sur la serviette.
Je fais un mouvement, je laccroche, elle se dénoue et tombe dénudant le haut de son corps.
- Dis-moi, Christian, tu es bien rapide, si tu voulais voir mes seins, il suffisait de demander.
- Excuse, cétait un accident.
- Bien plaisant ma foi, il fait si chaud, comment les trouves-tu ?
Je sens linvitation, cétait réellement pour boire un dernier verre coquin, putain, quelle chance, Alain nique la belle-mère, je vais baiser la fille.
Lamiral va être cocu sur toute la ligne.
Les Parigots, question cul nous sommes bien les meilleurs lorsque lon sen donne la peine.
Javance ma main et je caresse sa poitrine, ses pointes cachées sortent de leur torpeur.
- Christian, jai un fantasme depuis que je suis toute petite !
- Dis-moi lequel, je vais essayer de le satisfaire ?
- Depuis le début de ma vie, mon père a été entouré de jeunes marins comme toi dans ces diverses affectations.
À Hourtin près de Bordeaux, à Dakar, à Brest sans oublier Toulon et encore Lorient.
Avant Tahiti où je lai suivi juste avant que je sois majeure, mon père était au ministère de la marine à Paris.
Jaimerais voir ce qui se cache sous vos ponts.
Je me lève, elle défait les quatre boutons, mon pont tombe.
- À oui, cest sympa, ou peut directement se servir, tu me parlais des jeunes officiers que je serais susceptible de fréquenter en priorité, ils ont des pantalons, tu dois comprendre la difficulté.
Sans me laisser le temps de répondre, elle se saisit de ma verge, comme Alain je suis sans sous-vêtements dans ce pays chaud.
Comme elle, je suis passé à Dakar et dans ce pays aussi, il faisait chaud et cest là-bas que jai enlevé mon sous-vêtement.
Était-elle là-bas à cette époque ?
Mais jai dautres chats à fouetter, la coquine me saisit et avance sa bouche.
Je suis bien élevé, surtout en présence dune jeune femme de cette qualité, je vois quelle sait se servir de nos queues nous les garçons.
De plus, comme je suis bien élevé, jévite de lui arroser les amygdales, la mère de mon copain à Joinville aimait me sucer et avaler mon sperme, elle, je préfère voir venir.
Surtout que cest elle qui me libère, se redresse et tout en me gardant dans sa main, conduit jusquà son canapé.
Elle se met en levrette, cest la voisine de Joinville qui ma appris que les femmes aimaient cette position.
Elle, cétait dans son vestibule et gourmande ayant ôté sa petite culotte qui gisait à nos côtés, elle a voulu que je la dévore avec ma langue et mes dents.
Je veux prendre mon temps, je magenouille derrière sa fente doù perlent quelques gouttes.
Elle sort dune douche, mais dès que jy mets ma langue, cest bien de la cyprine que je sens sous ma langue.
À Joinville, jétais moins bien placé, mais là à bonne hauteur, jai tout loisir de passer ma langue de son anus à son bouton que je découvre sans avoir besoin de le sortir de son capuchon.
Cest bon de baiser avec une vieille comme Adèle.
Vous revenez plusieurs soirs, profitant de labsence de votre pote.
Cette dame vous apprend les choses de la vie quun jeune homme doit savoir et qui vous servent à des milliers de kilomètres de distance pour que Lauriane se tortille et jouisse exprimant son plaisir.
Un puceau aurait profité de la situation et laurait pointé directement au risque déjaculer avant quelle arrive à prendre son plaisir.
- Mets-moi, je veux ta queue en moi, vas-y sans crainte je prends la pilule.
Linvitation ponctuée de votre premier baiser sa tête tournée vers moi et cest vous qui saisissez votre verge qui entre facilement dans cette grotte qui vous tend les bras.
Vous lui prenez les hanches et comme vous aimez ça, vous la pilonner à la faire jouir jusquà la transporter dans un orgasme dévastateur.
Elle sécroule, vous la faites descendre dun étage et cest elle qui se fait jouir en sempalant sur vous.
Il est temps à votre tour de rendre les armes et cest tout Papeete qui doit entendre notre couple jouir simultanément.
- On maurait dit que je réaliserais mon fantasme avec un jeune homme sachant mapporter plusieurs orgasmes successifs, jaurais traité cette personne de folle.
- Alors, soyons fou, as-tu dautres fantasmes que je pourrais réaliser.
Elle mentraîne sous la douche où nous nettoyons mutuellement, nous embrassant à pleine bouche, ce qui fait se redresser ma queue.
- Cest impossible, tu es insatiable, une vraie bête, mais baisses pavillon, oui jai un autre fantasme, après nous être habillé, nous allons le réaliser.
Nous reprenons sa voiture, cest impossible quelle veuille que je fasse ça.
- Matelot, il vous est interdit dentrer dans ce cercle réservé aux officiers.
Je le savais, je me fais jeter, quand un lieutenant sapproche du réceptionniste.
- Pardon mademoiselle, jignorais qui vous étiez, entrer, vous êtes les bienvenus.
Cest dans les bras lun de lautre que nous courrons vers un endroit impossible pour moi de penser y entrer un jour.
- Bonjours Lauriane, toujours en retard, mais on peut comprendre.
Nous venons de retrouver dans un salon deux autres couples, lun lhomme en civile et la femme en tenue dofficier.
Lautre cest linverse, lhomme, cest un capitaine et la femme en robe à fleurs du pays.
Elle aussi des indoues Tahitiennes et est aussi jolie que Vanilla la petite pute.
Serge et Alida et Fabrice et Perle et Florentin, Lauriane et Christian, les présentations sont faits.
Un matelot maître dhôtel, les yeux écarquillés de me voir là, nous sert des Martinis avant que nous allions dans le restaurant nous substanter.
Sept mois que jai rencontré Lauriane dans la propriété de son père.
Sept mois que jai trouvé le moyen de rester au service de la fille de lamiral, mais principalement avec ma bite qui est toujours à la fête, car la drôlesse à plus dun fantasme dans son sac.
Un mois que jai conduit Alain à son avion, son séjour et son service se terminant.
Carole était avec nous.
Elle ignorait que ma maîtresse sétait Lauriane, car au retour, si javais voulu cest la belle-mère et la fille que jaurais eue dans mon lit.
Ce septième mois, cest Lauriane qui prend lavion avec toute sa famille, lamiral a fini son affectation et rentre en France pour prendre sa retraite.
Elle doit continuer des études de médecine.
Les mois qui suivent comme nous nous le sommes promis, chacun reprend sa vie après énormément de fantasme réalisé.
Tahia, Vanilla, non, Prune, peut-être la sur de Vanilla qui a disparu du « gogo bar » avant à mon tour de revenir en France continuer a carrière.
Je suis à quelques mois de prendre ma retraite, je viens de prendre les rênes des mécaniciens dun escorteur descadre comme maître principal.
Aujourdhui, inspection du commandant.
Je me retrouve devant notre pacha, surnom que nous donnons aux commandants de navire.
- Matelot, si je comprends bien, la plaque de cale où lon vous a placé, moblige à vous demander douvrir la seule plaque libre.
Si je vous demande de le faire, je verrai une cale impeccable comme jaime que mon bateau le soit.
Il faut dire que la peau de vache qui nous commande est connue dans toute la rade de Brest pour être le pacha le plus vache qui soit.
Ses inspections sont légendaires avec ses gants blancs promenés sur les tuyaux.
Bien sûr, une autre t est ouverte et ça retombe sur moi.
- Maître Christian, venez dans mon bureau.
Putain, Lauriane va vouloir que je la saute sur sa couchette.
Je suis marié et jai trois petits Bretons.
Anaëlle, cest la sur dAlain que jai retrouvée après mon retour en France.
Elle ma suivi depuis Paris et fait figure locale avec ses cheveux roux et ses taches de rousseur.
La tromper avec celle de ma jeunesse impossible, après 10 ans, je suis follement amoureux.
Après son retour, Lauriane a su que Naval comme la marine était ouverte aux femmes, elle a changé son orientation et cest sûrement elle qui ma fait embarquer sur le même bateau quelle.
- Maître, vous avez été prévenu par vos commandants de secteurs le soin que je voulais que mon équipage porte à mon bateau.
En permettant que les cales des machines soient remplies de fiouls ou dautres huiles, vous avez enfreint mes ordres.
Trouver des partis de cales où vous avez permis que des bidons de peinture argentée soient jetés et étalés au balai-brosse est inadmissible.
Croyez-vous que jignore ce qui se dit depuis des lustres dans la marine.
« Peinture sur merde, égale propreté. »
Vous avez donc permis à vos matelots de contourner mes directives.
En conséquence, je vous inflige trente jours darrêt de rigueur.
Au vu de vos états de service et la proximité de votre retraite, cette sanction sera accompagnée dun sursis.
Rompez, retournez faire nettoyer mon navire, je viendrai faire une inspection inopinée dans vos machines quand bon me semblera.
Jai salué Lauriane réglementairement et jai quitté ce commandant qui avait oublié ou voulu oublier que je lavais sautée.
Pourtant, cest bien elle qui mavait aidé à transgresser les règles en mintroduisant au cercle des officiers de Papeete.
Il me restait quinze jours à faire avant la quille.
Cest le médecin de ma femme en ville qui ma prescrit un arrête de travail me permettant déviter tout contact avec celle qui quelque part ma évité de devenir alcoolique comme le second-Maître Hugo.
Je vous lai dit, cest dans les bras de ma dulcinée que je me réfugie avant de dire :
« La quille bordel, »
Ce que disent tous les marins qui arrivent au bout de leur engagement.
Voilà, nous sommes au bout de cette aventure tahitienne.
Je vois déjà les anciens marins qui vont lire mon histoire que certains faits sont dans limpossibilité de cadrer surtout avec les périodes.
Cest volontaire, une grande partie de cette histoire est réelle, le marin la vraiment vécue.
Jai voulu préserver lhonneur de cet amiral, cocu avant lheure.
Je veux ici éviter toute douleur pour cet homme sil est toujours de ce monde.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!